Place Central

Un homme se distinguait de la foule qui faisait des vas et viens dans la place central. Il y avait, comme toujours, du trafic. La place était bruyante, très bruyante et tout le monde s’entassait et se poussait. N’empêche que cet homme la semblait se distinguer dans son grand manteau aux couleurs étranges; rouge, orange et crème, le tout semblait finement brodé et avait de magnifiques décorations d’or. En plus des ses habits extravagants, l’homme attirait les regards.

Il avançait d’un pas confiant dans la foule et, de sa démarche féline, se déplaçait avec l’aise d’un habitué. Il se dirigeait vers le centre de la place, chose très risquer. Il avait passé sans difficulté la rue, malgré le trafic, se faufilant entre les voitures. Si les gens ne se tassaient pas devant son passage, il le faisait lui-même. Une lueur brillait dans ses yeux bruns, une lueur qu’on ne pourrait déterminer vraiment.

Arrivé au centre de la place, il monta sur la luxueuse fontaine. Il y monta jusqu’au plus au point, pour que tout le monde puisse le voir. Il se racla la gorge, un point devant sa bouche finement sculptée dans sa chaire. Il tassa une mèche de cheveux bruns qui cachaient son visage, puis leva la main droite, fermée en un poing, dans les airs, pour attirer l’attention, puisque faire du bruit serait inutile. Quand il sembla satisfait, il dit de sa voie la plus forte :

-Je suis venu prendre mon dut, prendre ce qui m’a toujours été destiné! On m’en a privé tant d’années et on a même osé rire de moi, mais je serai clément pour ceux-ci…

Il prit une respiration, comme si ce qu’il disait était banal.

-Je suis le Maître de l’univers!

Puis il le répéta plus fort, pour que plus de gens l’entendent.

-Je suis le Maître de l’univers!

Il semblait fier de lui, il avait un grand sourire accroché aux lèvres, comme s’il s’attendait à ce qu’on se prosterne devant lui, à ce qu’on accepte ses paroles. Il se prélassa devant son auditoire, présentant son charme à qui voulait bien lui porter attention. Il se déplaçait sur la fontaine, dans toute sa grâce, et faisait des vas et viens.

Il ouvrit grand les bras, tout en continuant de déambuler sur la fontaine et clama une dernière fois, pour être sûr que tout le monde l’entende :

-Je suis le Maître de l’univers!

Les gens, après s’être arrêter de parler un instant, regardait maintenant l’individu qui se tenait devant eux, a prétendre être maître de l’univers! Il se pavanait la avec ses vêtements riches comme si ce qu’il avait dit était bien normale. Mais qui était cette énergumène au juste? Certaines personnes commencèrent a rie un peut, puis de plus en plus. Certains lui dire d,aller se r’habiller, de dégagez de la, etc. d’autres passèrent comme sa, ce n’était qu’Un énergumène de plus. Un policier humain arriva bientôt sur les lieux pour demander de dégager et demanda de faire de même a l’énergumène qui se croyait maître de l’univers.

L’homme sembla adoré qu’on lui porte attention. Il continua à se prélasser devant son publique, bombant le torse aux moments qu’il trouvait opportun. Parfois, il envoyait la main, comme le ferait n’importe quel haut dirigeant.

Pour accompagner son manteau luxueux au goût douteux, il portait des pantalons noirs très quelconque devant son magnifique manteau. Il portait des souliers noirs, mais pas très luxueux, mais ne faisait pas beaucoup de bruit. Étrangement, il ne semblait rien porter sous son manteau, car parfois, l’on lui voyait le torse.

Il faisait des vas et viens et lâchait quelques phrases qu’il trouvait bien placé. Quand il n’avait rien à faire, il se passait une main dans les cheveux, afin de se donner de la consistance, ou bien il faisait de grands gestes avec ses bras.

D’où il était, il n’entendait pas grand-chose dans le grand vacarme de la place central. Ce ne fut que quand les rires furent plus forts qu’il les entendit. Il parut d’abord déconcerté, mais fit comme si de rien était, comme s’il ne les entendait pas, comme s’il ne voyait pas ceux qui riait. Mais les rires ne cessèrent pas et ils devinrent plus forts.

Il s’arrête de marcher de long en large de la fontaine et arrêta devant un groupe qui riait de lui. Il était rouge de colère et la lueur dans ses yeux s’intensifia. C’est là qu’il explosa.

-Vous n’avez pas honte! Je suis le Maître de l’univers! On ne rit pas de moi comme ça! J’ai passé toutes les épreuves que le destin a mit en travers de mon chemin! Je mérite mon dut! J’ai tout fait pour l’avoir et vous vous osez rire de moi! Alors sachez que je serai sans mercis pour vous, lâche, Hérétique! Je vous mettrai aux cachots et jamais vous ne reverrez les lueurs du jour, plus jamais vous ne rirez! Plus jamais vous avez compris, parce qu’on ne se moque pas comme ça du Maître de l’univers! Non! On ne se moque pas de moi! J’ai été trop tolérant, maintenant c’est fini!

Il s’arrêta là et reprit sa respiration. Il avait littéralement éclaté. C’est comme si on pouvait voir toutes les veines de son cou, mais il sembla se calmer. Il reprit sa marche sur la fontaine, mais s’arrêta quand il fut tanné d’entendre encore les rires de plus en plus bruyants d’une foule sotte, qui riait de leur dirigeant.

-Vous osez continuez à rire! Ça ne se passera pas comme ça! Le Maître de l’univers ne se laissera pas ridiculiser comme ça!

Il se retourna, puis sembla cherche dans son ‘’publique’’ quelqu’un du regard. Il sembla l’avoir trouver et se redressa. Et dit dans un calme encore plus grand.

-Emmenez-les! Mettez-les aux cachots, ils m’importunent! Ils ne méritent pas de me servir!

Quand il vit qu’un policier s’approchait, il sourit, mais se rembrumit quand il lui demanda de dégager.

-Toi aussi tu te crois fin! Tu es comme tous ces traîtres! Tu ne mérites pas de servir l’entité supérieure que je suis! Je suis le Maître de l’univers!

Puis, pour la première fois, il dit ce qu »il aurait dut dire plus tôt, malgré les rires.

-Prosternez-vous devant moi! Prosternez-vous devant votre maître, devant le Maître de l’univers!

Le policier regarda le drôle d’individu d‘un drôle d’air. Il se prenait vraiment pour le maître du monde ce type la? Tout autour, les gens commencèrent a se désintéresser de la scène et repartirent vaquer a leur petites occupations individuellement. Plus personnes ne portait maintenant attention a l’énergumène sur la fontaine. Le policier s’adressa alors a nouveau au trouble-paix.

-Monsieur, je vous demanderais d’arrêter de dire des idiotie, vous troublez la voie publique. Si vous n’arrêter pas immédiatement, je serais forcé de vous conduire au poste de police et vous aurez une amende pour trouble de la voie publique.

Il dit tout cela de façon bien polie mais l’on pouvait sentire dans sa voie une touche d’énervement. Il ne semblait pas trop apprécier devoir intervenir pour des idioties comme celle si.

L’homme regarda de haut le policier, puis lui rit au nez. Il regarda avec mécontentement les gens se détourner de la scène, mais ne l’afficha pas sur son visage. Il se retourna vers le policier avec son grand sourire aux lèvres, puis il dit, pendant qu’il époussetait de la poussière invisible sur son beau manteau.

-Petit policier de pacotille….J’en ai déjà vu des comme toi, qui se croient supérieur aux autres, qui Pensent avoir le droit de faire ce qu’ils veulent, car, supposément, vous représentez l’ordre et la justice!

Il rit de nouveau, un peu plus fort, il y avait un nouveau ton dans sa voie, qu’on ne pouvait pas vraiment définir. Il étouffa son rire pour se laisser parler.

-Pour ta gouverne, je ne dis pas des idioties, j’expose les faits et réclame mon dut! Je suis le Maître de l’univers, je ne mens pas comme tant de charlatans! Mais je suis trop bon, alors je te permet de t’excuser, les erreurs peuvent arriver a n’importe qui. Maintenant, prosterne-toi devant moi!

Il semblait sérieux, très sérieux. Mais il ne laissa pas de répit au policier, puis continua, en regardant le policier dans les yeux, comme pour le défier. Il resta ainsi quelques instants, puis se détourna et fit de nouveaux le tour de la fontaine, laissant derrière lui le policier insolent.

Il regarda vers l’horizon, vers les gens qui ne lui portaient plus attention. Au moins, ils ne riaient plus de lui, mais maintenant, il n’avait plus son attention. Il ne semblait pas satisfait. Il cria d’une voie forte et puissante, d’une voie qui porte.

-Revenez! Revenez j’ai dit! Le Maître de l’univers le réclame! Venez êtres inférieurs, venez vous prosterner devant moi! Je suis le Maître de l’univers! Faites ce que je vous dis sinon vous le payerez! Vous le payerez cher, car Je suis le Maître de l’univers!

Il continua à vociférer ses mots. Il continuait à tourner autour de la fontaine, afin que le policier ne l’empêche pas d’agir.

Il semblait de plus en plus désespérer, il se dégradait. Son ton devenait plus lourd, sa confiance laissant place à sa peine. Il continuait à parler, les mots d’une âme perdue. Ses yeux rougirent et les larmes commencèrent à couler. Sa voie n’était plus aussi forte qu’avant et ne portait plus autant, elle devenait faible, tremblante, emplie de tristesse.

Toute fois, il continuait d’exiger, il continuait de parler comme si tout lui était dut, comme s’il était un être supérieur. Il semblait de plus en plus désespérer. Ses sanglots déchirèrent ses phrases. Il dit dans un dernier effort afin d’attirer l’attention sur lui.

-Je suis le Maître de l’univers! Prosternez-vous devant moi!

Le policier regardait la scène avec un air désespéré. Pourquoi devait-il toujours tombé sur les dingues? Il regarda un peut autour, comme pour vérifier une chose invisible avant de s’avancer vers type qui semblait de plus en plus désespéré. Le prenant par l’épaule, il lui dit alors.

-Monsieur, je n,ais d’autre choix que de vous ramenez au poste pour trouble de la voie publique. Suivez moi jusqu'à mon véhicule, j’aurais quelque test a vous faire passé avant, pour vérifier votre lucidité. Premièrement, avez vous consommer alcool, drogue ou autre agent perturbant?

Il espérait vraiment que cela n’irait pas plus loin. il en avait vraiment assez. Lui qui s’était dirigez vers le corps policier pour l’action et l’aventure, devait toujours intervenir pour des hurluberlue qui troublait la voie publique avec des idiotie. Si seulement il pouvait être transféré au moins en bas, la il y devait avoir de l’action! des bagarres avec les habitants du coin, des truc du genre. De quoi mettre en pratique ses talents en ars martiaux ! mais non, il devait se charger de pauvre type dans ce genre la…

L’homme se défit d’un geste ample de son épaule. Il semblait désespéré, mais pas près à lâcher. Il regarda de haut le policier, puis il riposta, d’un ton magistral, empreint de tristesse :

-Le grand Zik Andreson ne s’abaisse pas à prendre de telles substances! Le Maître de l’univers ne s’abaisse pas à faire comme n’importe quel être inférieur! JE suis le Maître de l’univers, je suis destiné à régner!

Zik faisait maintenant de grands gestes amples qui ne servaient absolument à rien. Pourquoi essayait-on de le détourner de sa tâche divine? Comment ces simples Mortels pouvaient se mettre au travers de son chemin, il était né pour régner!

Avant de se perdre définitivement dans ses pensés, il se concentra et rassembla ce qu’il lui restait de fierté.

-Jamais je ne retournerai dans votre minable poste! Ce n’est pas une endroit pour un être divin! Et sache petit être que je suis parfaitement lucide, bien plus que chacune des larves que vous êtes ! Je lis dans les lignes du destin, j’entend les paroles divines que seules les êtres supérieurs sont capable d’entendre! Cessez de vous croire supérieur espèce d’être inférieur! Je suis le Maître de l’univers! Partout on m’appellera : Monsieur Anderson! On m’acclamera, on se prosternera devant moi, car vous serez tous obligé un jour ou l’autre d’accepter ma suprématie! Je suis né pour Régner!

Il regarda autour de lui, le désespoir se lisait dans ses yeux, malgré l’étrange lueur qui y vacillait. Il se passa de nouveau une main dans les cheveux, puis dit, pour lui-même, mais assez fort pour que bien des gens l’entende :

-Je suis le Maître de l’univers! Je Dois régner sur ces mondes inférieurs! Je dois atteindre le summum avant de rejoindre le havre des êtres supérieurs! Pourquoi refusent-ils les faits? C’est tellement évident!

Puis, sans qu’on ne s’y attende, il sauta de la fontaine, s’éloignant du policer et s’avançant parmi les passants. Il s’agrippait a eux et les suppliaient de ce prosterner. Les larmes autours de ses yeux étaient de plus en plus abondantes et sa voie était sans cesse coupée par ses sanglots. Parfois, il rassemblait ses efforts et criait plus fort, pour que plus de gens puissent l’entendre.

-Je suis le Maître de l’univers! Je suis destiné à Régner!

Le policier, d’abords frustré de t’en d’Idiotie, devint finalement un peut triste pour le jeune homme. Vraiment, certains problèmes mentaux étaient plus triste que d’autres. Il n’eu d’autre choix alors que d’empoigner l’homme un peut plus solidement et tenta de lui passé les menottes aux mains afin de mieux l’amenez a son véhicule.

-je vous prierais de me suivre sans résistance jusqu'à mon véhicule. Tout ce que vous direz pourrait être retenu contre vous en cas de procès.

Étrangement, contrairement à plus tôt, ne tenta pas de se défaire de l’emprise du policier. Par contre, il continuait à se lamenter dans de grands cris déchirants. Quelques larmes continuaient à perler sur ses joues, mais que du superflue comparé à la douleur que l’on pouvait lire dans son regard. L’on pouvait maintenant clairement déterminé ce qu’était la lueur vacillante dans ses yeux, la folie.

Les proclamations de Zik étaient maintenant imperceptible, ils ne semblaient plus se déclarer Maître de l’univers, mais semblait se lamenter sur sa situation. Il dit alors, plus clairement que plus tôt :

-Lâchez-moi, je dois régner sur l’univers…Pourquoi est-ce tant compliqué?! Pourquoi ne veulent-ils pas m’accepter? Pourtant c’est une évidence! L’empereur n’est qu’un imposteur! Je dois prendre sa place, ça ne se voit pas que j’ai bien plus de prestance que lui! Le destin a décidé que je dois devenir le Maître de l’univers! Prosternez-vous. Je suis lasse de joueur à ce jeu, Je suis le Maître incontesté de l’Univers proclamé par le destin!

Le reste de ses lamentations devinrent plus superflus. Il se laissa traîner par le policier parmi les passants auxquelles il s’accrochait en sanglots. Ses yeux étaient rouges et sa démarche ne semblait plus aussi fier qu’avant. Il s’était recroquevillé sur lui-même, il avançait courbé sur lui-même, tel n’importe quel être renfermé.

Tout se repassait comme autrfois, la première fois qu'il l'avait tenter. Maintenant tout était clair, le destin s'était moquer de lui, jamais on n'accepterait qu'il devienne Maître de l'univers. Il ne servait à rien de continuer à se battre pour une situation qui le dépassait. Même s'il lisait dans le destin, il ne pouvait plus rien faire, puis il eut comme une illumination et pointa un passant. Puis il dit, le ton de son désespoir adoucit, mais pas tout à fait estomper, car jamais il ne pourrait se refaire de cet échec.

-Tu mourras dans 3 semaines assassinés par ton fiancé qui ne t'aime pas.

Il rit bruyamment, comme content de sa prédiction, puis il se retourna vers une autre personne dans la foule.

-Tu mourras de vieillesse, mais à cet époque, il n'y aura personne à tes côtés.

Son sourire s'élargit, puis il tenta de se défaire de l'emprise du policier, il avait un nouvel espoir, plus besoin de se minable qui mourrait dans un accident de voiture.

Il réussi a se défaire de la poigne du policier et les gens le regardait maintenant avec un air presque apeuré devant tant de folie. Il avait maintenant un espoir de pouvoir échapper au policier et a l’asile avant que le policier ne reprenne ses esprit et tente de le rattraper.

Content de sa réussite, Zik sourit de plus belle, puis il dit tout en regardant le policier de haut :

-Tu mourras d’un accident!

Puis, tout content, il s’en fut plus loin, lançant des remarques sanglantes et sadiques par ci et par là. Parfois, les morts qu’il annonçait étaient plus naturels, mais étaient tout de suite oublié après une nouvelle annonce des plus horribles. Il semblait s’amuser comme un petit fou, expression plutôt adéquate.

Ce qui faisait le plus peur aux gens, c’était le sérieux qu’il exprimait quand il annonçait un mort. Malgré tout, il restait courbé sur lui-même, comme si son malheur passé ne voulait plus le lâcher, éternel marque d’une épreuve particulièrement douloureuse pour l’esprit.

La lueur dans ses yeux semblait chercher quelque chose, ou plutôt lire un texte imaginaire qui défilait devant lui seul. Ses yeux étaient encore rouges et les sillons de ses larmes sur ses joues étaient toujours visibles.

Dans sa grande hilarité il pointa une nouvelle personne, puis proclama tout haut pour que son auditoire apeuré puisse entendre chaque mot de son jugement :

-Tu mourras dans une marre de sang, le jour de ton accouchement, mais ne te fait pas de faux espoirs, ton enfant mourra avec toi!

Il rit de la victime de sa folie, puis continua à tituber entre les passants et prochaines victimes. Il avançait très lentement, trop occupé à lancer ses remarques cinglantes, pour lesquelles il s’arrêtait, afin d’y ajouter sa touche de perfection. Il lâcha une nouvelle fois une de ses ‘’prophéties’’ morbide.

-Tu mourras de faim avec ta famille dans les rues minables de la Basse Ville!

Il continua à se promener entre les gens et lâcher les morts qu’il trouvait les plus satisfaisantes. Il sourit après avoir ‘’lu’’ la mort de sa prochaine victime, puis la cita. Il rit de nouveau, puis continua à s’aventurer entre la populace, mais pas bien avancé, à quelques mètres du policier, ayant été trop occupé à revenir en arrière pour des morts particulièrement sanglantes.

Le policier repris rapidement l’illuminé lorsque celui ci revint tout près. Cette fois, il lui mit les menottes immédiatement et l’amena pour finalement être embarquer dans la voiture du policier. Il fut installer en arrière, une grille le séparant du policier, l’empêchant de l’atteindre si jamais il tentait de l’attaquer. Il avait toujours les menottes aux mains.

Puis la voiture s’éleva lentement avant de partire vers l,avant, emportant avec elle Zik. Mais voilà, quelque instant plus tard, le policier, au volant de sa voiture, commença a trembler et perdit la maîtrise de son véhicule. Ils finirent alors leur course dans les gardes fou. Personne n’était en vue, il s’agissait d’une rue déserte et les seule être vivant a y être était Zik… et lui même. Le policier était inerte sur le volant.